Notre Dame du Travail

Extrait d’un mémoire de maîtrise de M. Jean-Hugues Simon-Michel
Première Partie : L'homme et la paroisse

Chapitre II : Un faubourg déshérité

A - Les origines de la paroisse et la croissance de la population
    
     Entre 1880 et 1900, Plaisance connait une véritable explosion urbaine.
    
     Sous la monarchie de juillet, Plaisance était encore un simple hameau entre Montrouge et Vaugirard, composé de quelques "maisons de plaisance", avec des jardins. Elles donnèrent leur nom au quartier.
     On y trouvait aussi des guinguettes, dont le fameux cabaret de la mère Saguet, rendez-vous des romantiques. La population ne dépassait pas 2 ou 3000 habitants.
     Pour desservir cette petite agglomération, une chapelle de secours, située 9 rue Saint Médard (plus tard rue du Téxel), fut érigée en paroisse en mars 1848, sous le vocable de Notre Dame de l'Assomption. Construite en matériaux de bois, elle ne comprenait qu'une seule nef, qui correspondait au bas-côté droit de l'église qu'a connue SOULANGE-BODIN. En 1859, Plaisance fut rattaché à Paris ; et en 1860, son église reçut le titre de Notre Dame de Plaisance, ainsi qu'une cloche provenant de Sébastopol, offerte par l'empereur Napoléon III. Entre temps, l'église avait été doublée d'une seconde nef en 1858. Le bas-côté gauche fut construit en 1865. Au total, cette église, qui ne devait être - pensait-on en 1848 - que provisoire, pouvait contenir 250 à 300 personnes (1)*. Elle était donc tout à fait insuffisante pour la population du quartier, à tel point qu'on a dô célébrer en même temps des baptêmes et des convois !
     C'est qu'entre 1848 et 1884 la population a décuplé. Le plaisant hameau est devenu un faubourg ouvrier misérable et surpeuplé. En 1884, on y compte 26500 habitants. Tout au long du ministère de SOULANGE-BODIN, la croissance de la population reste très forte :
    
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     Puis le visiteur, guidé le plus souvent car un prêtre du Rosaire, pénètre dans une de ces masures. Il nous présente l'état des lieux, l'importance de la famille et de ses besoins, et le loyer, toujours démesuré avec le confort de ce logement. François Veuillot rencontre une famille de sept enfants qui vit dans une demi-cave, humide et sur cour, pour un loyer de 200 F par an. Le père est chômeur, et il n'y a pas assez de lits pour tout le monde... Mademoiselle Chaptal nous parle d'une vieille femme phtysique et désespérée, qui refuse d'abandonner sa "pauvre hutte" fréquentée par un oiseau blanc – pour se faire hospitaliser...Guy Tomel, en revanche, en trouve une qui est enchantée de son départ à l'hôpital Saint Joseph, car elle est sôre d'y manger trois fois par jour (2)*.
     A travers leur récit, ces auteurs font toujours apparaître explicitement ou non - deux préoccupations majeures : l'absence d'hygiène et la déstructuration de la famille.
     L'absence d'hygiène est la conséquence de la pauvreté et du délabrement des taudis, où les paroissiens sont contraints de s'entasser. Elle s'explique aussi par le manque d'éducation des mères de famille. Or précisément, on ne voit pas comment ces dernières pourraient recevoir ou transmettre une éducation, puisque les structures familiales sont en pleine désagrégation : les parents n'ont plus ni le temps, ni l'espace - un logement décent - ni l'autorité pour élever correctement leurs enfants.
     Mais il ne faudrait pas se laisser abuser car le constat pessimiste de ces observateurs. La situation à Plaisance est sans doute meilleure que dans bien d'autres faubourgs parisiens. Le nombre de naissances illégitimes atteint par exemple 27,4 % du total des naissances en 1890 dans le quartier de Plaisance. C'est beaucoup plus que dans les XVIe arrondissement (19,8 %); mais c'est beaucoup moins que dans le XVIIe (35,8 %) ou .dans le XXe (42 %) (3)*. Comment nos catholiques sociaux expliquent-ils cette désagrégation de la famille ? Le travail féminin est une des causes de la déstructuration de la famille. D'une part, il éloigne la mère du foyer, et d'autre part il plonge la jeune ouvrière dans le monde corrompu de l'usine et de l'apprentissage(4)**. mais les conditions de logement ont sans doute un effet tout aussi néfaste sur la famille, car les enfants sont rejetés à la rue. Cette situation est encore pire lorsque couple, ruiné, doit vendre ses meubles pour aller loger dans un "garni".
     Le garni est l'antithèse du foyer : la famille s'y retrouve dépossédée de son intimité, dans une promiscuité qui favorise l'adultère et oui livre les enfants à la pire des éducations. Veuillot, Bergeron ou Mademoiselle Chaptal s'en désolent. SOULANGE-BODIN quant à lui aime à dire que les hôtels garnis sont "une plaie sociale et morale" ; le second épithète a son importance(5)***. Lors de la visite pastorale de 1889, l'abbé Grenier avance le chiffre de 50 hôtels meublés, mais l'Annuaire Statistique de la Ville de Paris (1890) en dénombre 169 dans le quartier Plaisance (6)****, abritant 3035 locataires.
     La misère et la déstructuration familiale ont deux conséquences les enfants sont livrés à eux-mêmes, et les pères - ou même parfois les mères - sombrent dans l'alcoolisme. Privés d'une bonne éducation, les enfants à leur tour ne sont pas armés pour résister aux tentations, pratiquer les vertus chrétiennes et fonder une famille unie. Quant au père alcoolique, rebuté par un foyer sordide et mal tenu, malheureux dans une famille désunie, il préfère retrouver l'atmosphère conviviale de la boutique du marchand de vin. Ecoutons le constat désolé de Mademoiselle CHAPTAL.
     "Si vous suivez cette rue avec une curiosité éveillée, vous observerez de suite deux traits marquants. L'un de ces traits, c'est le marchand de vin qui multiplie sa boutique au point de ne pas en laisser exemptes plus de deux portes voisines. L'autre, c'est le nombre d'enfants qui grouillent, même aux heures scolaires, autour des ruisseaux. Le grand ou les grands gardent les plus petits"(7)*.
     Il est significatif que la première œuvre fondée par Mademoiselle ACHER - d'où allaient naître les œuvres du Rosaire - soit une école, et que cette école soit installée dans l'ancienne boutique d'un marchand de vin... La bonne égérie de SOULANGE-BODIN entendait ainsi lutter de concert contre les deux principaux fléaux de Plaisance.
     Tous ces récits sont construits sur le même modèle, y compris d'ailleurs lorsqu'ils se présentent sous la forme d'une digression au sein d'un ouvrage plus spécialisé(8)**. Ils suivent le même plan, ils se citent parfois(9)***. Ils font apparaitre les mêmes préoccupations, les mêmes valeurs, et les mêmes priorités d'action. On a le sentiment d'assister à la naissance d'un véritable genre littéraire.
     Ce genre est précieux car, inspiré de la méthode de Le Play, il privilégie l'exemple concret et l'enquête sur le terrain. Mais l'image qu'il nous donne de la vie sociale à Plaisance est prisonnière des intentions oui animent les auteurs. Ce que les catholiques sociaux nous livrent à travers leurs descriptions, c'est déjà le programme d'action de SOULANGE-BODIN et de Melle CHAPTAL. Leurs œuvres sont le reflet de l'analyse sociologique qu'on vient d'esquisser les œuvres en faveur du logement ouvrier, les dispensaires, l'école ménagère, les patronages pour assurer la garde des enfants, l'œuvre du travail à domicile, les conférences chez les marchands de vin, etc...
     Mais le tableau dressé par ces auteurs est incomplet. Il néglige certains aspects de la culture populaire et des solidarités ouvrières.
     Il oublie surtout de mentionner le contexte polémique dans lequel s'inscrit l'action sociale ; car les catholiques ne sont pas seuls à s'intéresser à la "pouillasse" des faubourgs ils rencontrent la et concurrence de mouvements laïcs socialistes.
    
B - Le contexte sociologique à travers les souvenirs des habitants de Plaisance
     Les quelques souvenirs sur Plaisance à la Belle Epoque, conservés par la Revue d'Histoire du XIVe arrondissement ou bien les pages semi-autobiographiques du Notaire du Havre, de Georges DUHAMEL, qui a vécu impasse Vandamme de 1891 à 1894 (10)*, ne sont pas directement exploitables par l'historien. Le discours y est envahi par un flot d'éléments subjectifs et de détails insignifiants. Ils ont cependant le mérite de faire pan aux récits des catholiques sociaux, et de compléter leurs enquêtes par une sorte de point de vue intérieur sur la vie et sur la société à Plaisance.
     A vrai dire, ce coint de vue intérieur est faussé par le temps, puisqu'il s'agit d'une reconstitution tardive, où se manifeste un vif sentiment de nostalgie. Au moins découvrons-nous ainsi une image moins sordide de la pouillasse des faubourgs. Voici en quels termes Georges DUHAMEL décrit son immeuble, un immeuble assez récent à plusieurs étages, qui contrastait avec les pauvres maisons basses du quartier :
"La maison ! elle est, dans mon souvenir, comme un donjon, comme une citadelle, notre acropole : pierre de taille par devant, rocailleuse meulière sur les hauts-flancs aveugles. Assez neuve et déjà toute poudrée de flammèches et de suie. Carrée, massive et presque seule encore de son espèce dans ce quartier fait de petites bâtisses provinciales et de masures villageoises"(11)*.
     L'image que l'écrivain nous laisse du quartier se confond avec l'enfance et la vie quotidienne : les guerres de rue entre gamins, l'école primaire, les odeurs et les noms des rues...Un trait original mérite cependant d'être souligné : l'omniprésence du train, car la gare Montparnasse est toute proche, avec ses ateliers, ses passages à niveau, ses cabines d'aiguillage, et surtout le bruit régulier des trains... Cette présence du fer a disparu aujourd'hui. Le quartier Vandamme a été rasé à la libération, la gare s'est étendue, et ses locaux séparent aujourd'hui la rue du commandant Mouchotte de la voie ferrée. DUHAMEL n'appartenait pas à une famille ouvrière. Son arrivée impasse Vandamme avait été vécue comme une déchéance ; ce qui montre assez la misère du faubourg. Mais son livre ne nous révèle pas moins certains aspects de la mentalité ouvrière. Une anecdote permet notamment de replacer l'alcoolisme dans le contexte des valeurs ouvrières. La scène se produit à l'école primaire de la rue Desprez :
"Après la leçon de calcul vint la leçon de choses. J'eus la chance d'être interrogé, mais la douleur de faire une mauvaise réponse. "De quelle couleur est le vin ?" demandait M. Joliclerc. "Combien connaissez-vous de sortes de vin, Quant à la couleur ?". Tous les doigts se tendaient, impatients d'un succès facile. "Toi, dit le maître, toi, le nouveau !". Je me levai en tremblant. "Il y a deux sortes de vin, le blanc et le noir". La classe entière protesta : "le blanc et le rouge ! le rouge, m'sieur .
     C'étaient des enfants de manouvriers. Ami, ennemi, nourriture et poison, le vin était mêlé sans(12)*cesse aux pensées, aux effusions et aux chamailles de leurs familles".
     Cet épisode montre assez la difficulté que SOULANGE-BODIN, Melle CHAPTAL et leurs émules ont dô rencontrer dans leur lutte contre l'alcoolisme. Non seulement le fléau touchait l'ensemble de la population, mais il s'insérait très profondément dans la culture ouvrière. L'ivrognerie était certes réprouvée, mais les valeurs populaires incitaient à la boisson, car la boisson était associée à la virilité et à la sociabilité. SOULANGE-BODIN qui l'avait bien compris, organisait des conférences populaires chez les marchands de vin...
     Mais la sociabilité populaire trouvait bien d'autres liens où s'épanouir que la boutique du marchand de vin. A cet égard, les coopératives jouèrent un rôle considérable. Il s'agissait presque toujours de coopératives de consommation. On en dénombre près d'une dizaine, plus ou moins éphémères : la Ruche, la Gauloise, l'Union Ouvrière du XIVème, l'Association Ouvrière du XIVème, la Semeuse,- etc.. la Glaneuse, créée en 1891 connaitra un certain succès (environ 250 adhérents). Mais la plus importante fut sans conteste l'Avenir de Plaisance, qui réunissait 5200 adhérents pour 1 600 000 F de chiffre d'affaires à son apogée en 1900(13)*. SOULANGE-BODIN sera très loin d'obtenir un tel succès lorsqu'il se mêlera à son tour de fonder une coopérative :
     l'Ouvrière ne comptait guère plus de 230 à 250 adhérents en 1902, pour un chiffre d'affaires annuel inférieur à 100 000 F...(14)**
     Les coopératives n'étaient pas de simples centrales d'achat. Elles se mêlaient de politique et développaient toute une action sociale. L'Avenir de Plaisance avait été fondé en aout 1873 par des ouvriers républicains qui, pour beaucoup, étaient d'anciens communards. Leur œuvre s'inspire des pionniers de Rochdale et des Union Shops anglaises. Pendant la période qui nous intéresse, l'Avenir est déchirée entre les tenants d'une conception socialiste de la coopérative, et les tenants d'une conception neutraliste(15)***. mais la tendance socialiste est sans doute la plus active pour développer les œuvres de mutualité et de solidarité. Il y avait au sein de l'Avenir de Plaisance une caisse de maladie, de prêts, de secours pour décès, un service médical et un service juridique gratuits, ainsi qu'une bibliothèque ; la coopération subventionnait également la Caisse des Ecoles du XIVe, et une crèche. Toutes ces œuvres, d'inspiration plus ou moins socialiste et laïque, sont en concurrence avec celles de SOULANGE-BODIN.
     Il en va de même pour les activités de détente et de loisirs. Il y a une scène de théâtre dans les locaux de l'Avenir, rue Niepce, avec une troupe et une revue annuelle. La coopérative est également à l'origine d'un club de gymnastique(16)*, et elle organise des sorties champêtres(17)**, tout comme la paroisse...
     Contrairement à ce que laisseraient penser les récits des catholiques sociaux, la "classe ouvrière" de Plaisance ne semble donc pas totalement démunie au plan moral, puisqu'elle a su développer certaines formes de solidarité.
     Qu'en est-il exactement de la composition sociologique du quartier? Elle n'est, en tous cas, rien moins qu'homogène. Voici comment on la caractérise dans la visite pastorale de 1889 : "Très besogneuse. Elle se compose d'un élément nomade, peu louable
     (nombreux hôtels garnis) ; d'un élément fixe ouvrier. La population fixe travaille dans l'intérieur de Paris et s'occupe de tout ce qui se rattache à l'industrie du livre - typographie, brochure, reluire, etc".
     Si les migrants d'origine rurale sont le plus souvent dénués de toute qualification, les parisiens de souche sont les héritiers du peuple de la Commune. Les premiers constituent donc un véritable sous-prolétariat tandis que les seconds forment une sorte d'élite ouvrière, quand ils n'appartiennent pas à la petite bourgeoisie.
     On retrouve, chez ces vieux parisiens tous les corps de métier. Voici quelques lignes extraites des souvenirs d'Andrée Lucas:
"Du haut en bas de la maison (...), toutes les professions ouvrières étaient représentées, mon père était mécanicien, mon oncle menuisier, et ils étaient très fiers de leur spécialité : ajusteur, tourneur, ébéniste."(18)*
     Mais on y trouve aussi beaucoup de petits commerçants : l'Echo de Plaisance fait régulièrement une place aux préoccupations de la Boutique dans sa rubrique "Controverses Sociales", et Soulange-Bodin engage ses paroissiens à se rendre chez les commerçants du quartier plutôt que dans les grands magasins.(19)**
     Les récits des catholiques sociaux font preuve d'un misérabilisme oui occulte la complexité sociale du faubourg et le poids des valeurs populaires. L'observateur grand bourgeois était en quelque sorte aveuglé par le dénuement matériel des populations. Pour faire face à l'influence croissante des mouvements laïcs et socialistes, il était pourtant nécessaire d'être de plain pied avec la société ouvrière et avec sa culture. Qu'en était-il de ses croyances politiques et religieuses ?
    

Notes :

(1)* Mgr Chaptal, op cité p 18 ; mais François Veuillot parle de 700 ! (op cité p 152)

(2)* Guy Tomel, Les Conscrits du Travail et l'Enseignement Professionnel Chrétien, Mame et Fils, Tours, 1898, p 69

(3)* Annuaire Statistique de la Ville de Paris, 1890

(4)** Ce second aspect semble encore pire aux observations que le précédent. Voir par exemple le commentaire de Veuillot à propos de l'Ecole Professionnelle de Jeunes Filles, in Apostolat Social les Œuvres du Rosaire VIe partie : "Les Œuvres de jeunes filles"

(5)*** Cf par exemple l'Echo de Plaisance, novembre 1897

(6)**** Rappelons que le quartier Plaisance du recensement ne recoupe pas exactement les limites de la paroisse : il est un peu moins étendu au Nord, mais beaucoup plus à l'Est.

(7)* La Revue Hebdomadaire, 15 mai 1909, article cité

(8)** C'est le cas dans le livre de Guy Tomel sur l'enseignement professionnel

(9)*** Veuillot cite par exemple Bergeron, Tomel, et Turmann

(10)* Notons que Laurent, le héros du Notaire du Havre, est de trois ans plus jeune que son auteur. Son séjour impasse Vandamme se situe donc de 1888 à 1891.

(11)* Georges Duhamel, le Notaire du Havre, Mercure de France .1934, ed. Folio p 46

(12)* Le Notaire du Havre p.70

(13)* Sur l'Avenir de Plaisance, voir l'article de Lucien Lucas, dont le père fut un des dirigeants de l'Avenir, étant des responsabilités importantes au niveau fédéral (Revue d'Histoire du XIVe, nº 28). Tous les chiffres en sont tirés.

(14)** Chiffres tirés de François Veuillot, Apostolat Social, les Œuvres du Rosaire.. VIIe partie

(15)*** Rappelons que cette querelle est le reflet d'une division nationale. Il y a deux fédérations de coopératives importantes : l'Union Coopérative, socialiste, et la Confédération Coopérative, neutraliste. Elles fusionneront en 1912 en une Fédération Nationale des Coopératives des Consommateurs.

(16)* Lucien Lucas nous donne le titre de pièces qui furent jouées après 1914, on y trouve par exemple les Equitables Pionniers. Il nous apprend également qu'à la même période, le club de gymnastique fut baptisé Union Athlétique Jean Jaurès du XIVe. Bien que tardifs, ces détails montrent bien l'inspiration socialiste de l'Avenir.

(17)** Sur le sport et les sorties champêtres à l'Avenir, voir les souvenirs de Rose Descotils-Vasseur dans la Revue d'Histoire du XIVe, nº 24

(18)* Souvenirs d'Andrée Lucas, Revue d'Histoire du XIVe, nº 28. Andrée Lucas est la sœur de Lucien, que l'on vient de citer. Rose Descotils-Vasseur, dont les souvenirs sont également conservés par la revue (Nº 22 et 24) était, quant à elle, la fille d'un peintre en bâtiment.

(19)**Le premier numéro de l'Echo de Plaisance (février 1897) publie par exemple une lettre où un paroissien se félicite de l'action de Soulange-Bodin en faveur du petit commerce. Le numéro d'avril consacre également un article, d'inspiration antisémite, à la crise du petit commerce.
    
    
    
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mise a jour le 8/12/2011